LA SAVOUREUSE JOURNEE DE SNACK ET ENTREE

Il y a fort longtemps, dans un cellier lointain, une Entrée était retenue prisonnière dans le bac à légumes d'un frigo. Elle était retenue prisonnière par un cracker apéritif (au Gouda!!) ranci qui était jaloux de sa fraicheur. Une paire d'heures passèrent lorsqu'un Snack vint à se faire réfrigérer non loin de la fraiche Entrée. Il entendit un bruissement si doux qu'il s’arrêta et écouta. C’était Entrée, qui dans sa solitude faisait bruisser la douce feuille de salade (verte) sur laquelle elle était joliment disposée. Le Snack voulut aussitôt la secourir (aahh quel esprit chevaleresque) mais il ne pouvait pas avoir accès au bac à légumes. Alors qu'il cherchait une solution, il sentit le cracker apéritif venir (sans doute l'odeur du Gouda) et il l'entendit appeler:

-« Entrée, Entrée, étire ta feuille vers moi! ».

Alors Entrée étira sa feuille de salade (verte toujours) et le cracker put ainsi se glisser dans le bac à légumes.

-« Est-ce le moyen par lequel on y parvient, alors je veux aussi une fois tenter ma chance. »

Et l'heure suivante, tandis que la température se rafraichissait, s'en alla-t-il vers le bac à légumes et appela:

-« Entrée, Entrée, étire ta feuille de salade vers moi! ».

Aussitôt la feuille de salade apparut et le Snack arriva à se glisser dans le bac à légumes et put ainsi aider l’Entrée à s’échapper du frigo. Ils trouvèrent un joli petit garde-manger ou ils vécurent heureux et eurent beaucoup de mises en bouche.

[inspiré du conte 'Rapunzel']



lundi 18 février 2013

Il était une fois... une tartine fourme d'Ambert sur lit de pruneaux




Tutti et sa funky Tutti-collègue avaient décidé de partir en vadrouille dans une contrée bien sympa du nom de Strasbourg. Leur estomac criant famine (enfin surtout celui de la Tutti-collègue), cette dernière décida de faire halte dans un petit troquet qu'elle connaissait.  C’est ainsi que Tutti découvrit ce lieu si enchanteur qu’est l’Épicerie, un petit café-salon de thé-échoppe aux objets d’antan hétéroclites et à l’ambiance aussi cosy que rétro. Et c’est surtout là qu’elle goûta à la fameuse tartine pruneaux-fourme d’Ambert dont voici la recette présupposée (au préalable validée par Maître Najar-Frutti).

Ce post est dédié à ma Tutti-collègue (elle se reconnaîtra). Merci à elle de m’avoir fait découvrir cet endroit hors du temps (http://www.lepicerie-strasbourg.com/) et merci à elle pour cet après-midi hors de ce quotidien qui parfois nous bouffe.


Combien ?
Tartines en amoureux (2 quoi !!).


Quoi ?
-2 bonnes tranches de pain de campagne
-160g de fourme d’Ambert (80g par tranche)
-20 pruneaux
-pignons de pin pour la déco


Comment ?
Étape 1 : Dénoyautez les pruneaux (si vous avez un super budget « pruneaux » et que vous pouvez vous acheter les pruneaux déjà  alors vous pouvez passer cette étape extrêmement fastidieuse). Coupez-les en petits morceaux et faites les cuire dans une casserole avec un peu d’eau afin que cela n’attache pas. Passez au bras-mixeur.
Étape 2 : Faites griller légèrement les tartines au four. Sortez-les, ajoutez une couche de purée de pruneaux, un couche de fourme d’Ambert et quelques pignons de pin éparpillés là-dessus. Repassez au four jusqu’à ce que le fromage fonde.
A TAAAAAAAAAAAAAAAAAAABLLLLLE !



Suggestion d’accompagnement : une bonne salade verte.

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